Ce samedi 1er octobre 2022, les autorités parmi lesquelles le ministre de la Santé et des Affaires sociales, le Dr. Guy Patrick Obiang Ndong et la ministre déléguée Justine Lembimbi épouse Mihindou ont lancé le mois de sensibilisation sur le fléau des cancers féminins dont celui du sein le plus répandu. Depuis plusieurs années, le Gabon devient ainsi un des « bonnes élèves » dans ce combat en Afrique et voici plusieurs points qui soulignent ce statut :
1ère raison :
Cette cause a une place toute particulière pour les plus hautes autorités plaçant celle-ci comme l’une de ses priorités. De nombreuses personnalités dont le président de la République, le chef du gouvernement, les ministres, etc., n’hésitent pas à s’impliquer dans la bonne marche des opérations. Pour relayer les informations et encouragements aux dépistages, ils utilisent massivement leurs réseaux sociaux personnels donnant une plateforme énorme à cette campagne.
2ème raison :
Cette mobilisation trouve en partie son origine dans la forte implication de la société civile dans cette cause. En effet depuis des années maintenant la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille et la 1ère dame lutte avec ferveur pour la protection des droits des femmes et dans le domaine de l’égalité homme-femme. Par de nombreuses actions, elle est parvenue à sensibiliser les pouvoirs publics qui aujourd’hui soutiennent ce combat. Une avancée que l’on peut aussi porter au crédit de la 1ère dame qui n’a pas ménagé ses efforts au travers de la fondation FSBO.
3ème raison :
Enfin, il faut rappeler que la santé est projet prioritaire du gouvernement et du chef de l’Etat. En effet, le Gabon se distingue grâce à l’un des meilleurs systèmes de santé d’Afrique. Des compétences bien visible lorsque l’on compare les chiffres résumant les retombées de la pandémie du COVID-19 dans le pays. Selon ses statistiques, le système de santé nationale se classe dans le top 5 des plus performants sur l’ensemble du continent Afrique du Nord et subsaharienne confondues au vu du faible taux de létalité de la maladie sur le territoire.
Si quelques lacunes viennent encore réduire son efficacité ces dernières devraient être fortement réduites par la mise en œuvre du Plan d’accélération de la transformation (PAT) qui prévoit de renforcer plusieurs infrastructures pour garantir l’accès au soin sur l’ensemble du territoire.