29 C
Libreville
samedi, décembre 7, 2024

Le modèle de protection des forêts et de la biodiversité du Gabon au cœur d’un article du Figaro

Dans un article paru dans le quotidien français le Figaro le modèle de protection des forêts et de la biodiversité du Gabon est particulièrement mis en avant avec le cas des gorilles. En effet, cet espace, menacé dans d’autres pays, peut évoluer en toute tranquillité dans de vastes espaces comme le parc naturel de Loango.

« C’est un décor féerique, à quatre heures de route de Port-Gentil (Gabon), puis une heure de bateau rapide. Au sein du parc naturel de Loango se déroule la grande lagune naturelle Iguéla, bordée de palétuviers. « C’est l’un des plus beaux endroits au monde. À Loango, les gorilles ont un accès de la forêt jusqu’à la plage ! », assure Shelly Masi, primatologue au Muséum national d’histoire naturelle (MNHN), à Paris […] » décrit le reportage exhaustif avant de s’attarder sur le cas des gorilles.

« Contrairement aux gorilles de montagne (de leur nom scientifique Gorilla beringei beringei), popularisés par la vie tragique de la primatologue américaine Dian Fossey au Rwanda racontée dans le film Gorilles dans la brume, ces gorilles des plaines de l’Ouest (Gorilla gorilla gorilla) ne sont suivis quotidiennement par des scientifiques que depuis la fin des années 1990. Les premières descriptions datent pourtant de 1858 et leur population est beaucoup plus nombreuse : environ 360.000 individus répartis dans six pays, surtout dans les forêts tropicales du Congo, du Gabon et du Cameroun. « Seuls dix groupes sont habitués à la présence de l’observateur humain, soit une centaine d’individus seulement, quand près de 90 % du millier de gorilles de montagne sont observés régulièrement », précise Shelly Masi, qui étudie cette espèce depuis vingt-deux ans […] »

Avant d’insister sur le suivi qui est mis en place pour la sauvegarde de ces espèces, ainsi grâce aux recherches et à la surveillance par les autorités et les parties prenantes les gorilles sont mieux préservés des maladies, du braconnage pour la consommation ou comme animaux de compagnie dans des zoos privés (en Russie ou en Chine). Il ne s’agit pas de la seule menace la réduction de l’habitat est un des risques majeurs pour la principale population de gorilles au monde qui diminue de 3% par an.

Pour rappel, le Gabon est considéré comme leader en matière d’écologie depuis plusieurs années, les plus hautes autorités ont pris des engagements fermes pour la préservation de l’environnement protégeant ainsi l’habitant des animaux qui vivent dans les forêts du Congo.

Derniers articles
Articles similaires

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici