Ce jeudi, les députés de la Transition se sont réunis au Palais Léon Mba, le siège de l’Assemblée nationale, pour évaluer la gestion des finances publiques. Sous la direction de Rufin Pacôme Ondzounga, les membres de la Commission des finances, du budget et de la comptabilité publique ont attentivement écouté les explications fournies par Mintsa Nguema Aurélien Marcel, Directeur général du Budget et des Finances Publiques (DGBFIP), et Luther Abouna, Directeur général de la Comptabilité Publique et du Trésor (DGCPT).
Lors de cette séance, les députés ont scruté les divers aspects des dépenses publiques et des engagements financiers de l’État jusqu’au 31 mai 2024. L’audition a permis de répondre à de nombreuses interrogations concernant les mécanismes de gestion budgétaire. Cet échange approfondi visait à éclairer les parlementaires sur les processus complexes de gestion des fonds publics, selon le communiqué officiel.
Les directeurs généraux auditionnés ont fourni des explications détaillées sur des points cruciaux tels que les dépenses de personnel, les achats de biens et services, les transferts, les investissements, et autres catégories de dépenses. Ces informations ont été jugées particulièrement pertinentes et transparentes par les députés présents, renforçant ainsi la confiance en la gestion budgétaire.
La session a été l’occasion pour les parlementaires de mieux comprendre les défis et les réalisations de l’administration budgétaire actuelle. La clarté des réponses et la maîtrise des sujets abordés par les responsables financiers ont été particulièrement appréciées, facilitant ainsi une compréhension plus fine des enjeux financiers de l’État.
À la fin de cette session, les députés ont unanimement exprimé leur satisfaction. Le président de la Commission des finances, Rufin Pacôme Ondzounga, a salué la clarté et la pertinence des explications fournies, ainsi que la transparence démontrée par les directeurs généraux.
Cette rencontre marque une étape importante dans la collaboration entre les instances parlementaires et les responsables financiers du pays. Elle témoigne d’un engagement commun vers une gestion plus efficace et responsable des finances publiques, pour le bénéfice de tous les citoyens gabonais.
