Comme chaque année au mois d’octobre, à travers la campagne de sensibilisation et de dépistage des cancers féminins dénommée Octobre Rose, plusieurs femmes se font dépister gratuitement.
Le Centre hospitalier universitaire (CHU) mère enfant Fondation Jeanne Ebori, centre agréé pour les dépistages, a déjà révélé pas moins de 60 cas suspects.
Le Dr Pamphile Assoumou, gynécologue obstétricien et responsable de la campagne au sein dudit CHU indique que « depuis le 1er octobre, le travail a commencé. À Mère-et-Enfant, nous avons reçu au total 200 femmes pour la sensibilisation et pour le dépistage. Ce qui fait en moyenne 17 femmes par jour depuis que nous avons commencé la campagne ».
C’est sur les 200 femmes reçues que plus de 60 cas ont été jugés suspects, dont 45 cas présentant des anomalies au niveau du sein et 20 cas pour le col de l’utérus. Ces cas suspects devraient obtenir les résultats définitifs dans une semaine, d’après les explications du responsable de la campagne.
Il poursuit en précisant que « C’est quelques anomalies, ça ne veut pas dire que ce sont des cancers. Mais ce sont des femmes qui ont été retenues pour continuer l’exploration. Nous sommes en train d’explorer pour avoir des diagnostics définitifs. Et ces diagnostics définitifs nous les aurons d’ici une semaine après que les résultats soient rentrés pour interprétation ».
Vivement que ces 60 cas ne soient que des suspicions et incitent les femmes qui hésitent encore à aller se faire dépister, afin de connaître leur statut cancérologique.
Lancé le 1er octobre comme chaque année au Gabon. La campagne de sensibilisation et de dépistage des cancers féminins dénommée Octobre Rose a déjà permis de mettre en exergue pas moins de 60 cas jugés suspects au sein du Centre hospitalier universitaire (CHU) mère enfant Fondation Jeanne Ebori.
« Depuis le 1er octobre, le travail a commencé. À Mère-et-Enfant, nous avons reçu au total 200 femmes pour la sensibilisation et pour le dépistage. Ce qui fait en moyenne 17 femmes par jour depuis que nous avons commencé la campagne », a déclaré le Dr Pamphile Assoumou, gynécologue obstétricien et responsable de la campagne au sein du CHU Jeanne Ebori.
Selon les informations données par ce dernier, sur les 200 femmes reçues, plus de 60 cas ont été jugés suspects, 45 cas présentent des anomalies au niveau du sein et 20 cas pour le col de l’utérus. Ces cas suspects devraient obtenir les résultats définitifs dans une semaine, avance néanmoins une source de l’hôpital.
« C’est quelques anomalies, ça ne veut pas dire que ce sont des cancers. Mais ce sont des femmes qui ont été retenues pour continuer l’exploration. Nous sommes en train d’explorer pour avoir des diagnostics définitifs. Et ces diagnostics définitifs nous les aurons d’ici une semaine après que les résultats soient rentrés pour interprétation », a tenu à préciser le Dr Pamphile Assoumou.
Notons que pour le moment et selon le médecin, depuis le début de la campagne, tout se passe sans problème. Toutes les conditions sont réunies pour dépister le plus grand nombre de femmes. Les actions de sensibilisation, de prévention et de détection des cas de cancer du sein et du col de l’utérus se poursuivent avec beaucoup d’engouement au sein de la structure hospitalière.