Si certains, particulièrement au sein de la société civile, auraient souhaité prendre part à la grande politicienne pour des lendemains apaisés, le chef de l`Etat a choisi de mettre les acteurs politiques entre eux. Car, ce sont leurs partisans qui sont souvent instrumentalisés pour créer des heurts.
« Les questions électorales ne nous font pas perdre de vue les questions économiques et sociales. Aussi, ai-je instruit le Gouvernement d’organiser dans les prochains jours, une large concertation y relative. Cette concertation, à laquelle participeront toutes les forces vives de la Nation, permettra à chacune et à chacun de s’exprimer, d’être écouté, d’être entendu », a déclaré le chef de l’État.
Celle-ci verra la participation de la société civile, des syndicats, du patronat, des confessions religieuses et autres forces vives de la Nation.
Ceci en réponse aux membres de la société civile et tous ceux qui ont crié à une mise à l’écart de cette partie de la population des concertations qui ont démarré ce lundi 13 février 2023 dans le but de définir les bases de la préparation des scrutins aux lendemains apaisés, afin de prévenir tout incident post-électoral, comme le Gabon l’a vécu en 2016.