Depuis des années, la route reliant Ovan à Makokou portait les stigmates de la négligence. Malgré son ascension continue dans les hautes sphères de l’État jusqu’à la Primaire, Alain-Claude Bilie-By-Nze n’avait jamais exigé que cet axe crucial pour sa région d’origine soit modernisé. Aujourd’hui, sous l’impulsion de Brice Clotaire Oligui Nguema, la situation évolue : le chantier de réhabilitation avance à grands pas, illustrant un changement tangible et déterminé dans la politique d’aménagement du territoire.
Dès son accession au pouvoir, le Président de la République a fait de la rénovation des infrastructures une priorité stratégique. Refusant les demi-mesures, il a placé la réhabilitation des routes au cœur de son action, conscient que le développement économique et social repose d’abord sur des fondations solides et accessibles à tous. Une démarche saluée par de nombreux citoyens, lassés de voir leur quotidien freiné par l’isolement et la vétusté des voies de communication.
Plus qu’une simple question de mobilité, l’accessibilité par la route est un levier de dynamisation des territoires. Elle favorise le commerce local, facilite l’accès aux soins, à l’éducation, et renforce le lien entre l’administration et les populations. En permettant à Alain-Claude Bilie-By-Nze — et à tant d’autres — de rejoindre son village sans obstacle, la route Ovan-Makokou devient un vecteur d’équité territoriale et un moteur de cohésion nationale.
Ce chantier incarne une vision ambitieuse pour le Gabon : désenclaver les régions longtemps délaissées pour les réintégrer pleinement dans le tissu national. À travers chaque kilomètre rénové, c’est une volonté politique forte qui se manifeste, celle d’unir et de moderniser le pays au-delà des centres urbains traditionnels.
Loin d’un geste isolé, l’aménagement de l’axe Ovan-Makokou s’inscrit dans une dynamique de transformation durable. Il témoigne d’une ambition de long terme : celle d’un Gabon résolument tourné vers un avenir plus équilibré, où chaque citoyen, quelle que soit sa localisation, a droit à des infrastructures dignes et à un développement partagé.
