28 C
Libreville
samedi, juin 28, 2025

Violences policières en France : Le silence assourdissant de RFI, France 24, TV5Monde, médias internationaux du groupe France Médias Monde qui auraient enflammé la toile s’il s’était agi d’une situation similaire dans un pays africain

La France, le pays droits de l’Homme, est actuellement secouée par des manifestations et des protestations violentes suite à la mort tragique d’un jeune homme, Nahel, abattu par un agent des forces de l’ordre à Nanterre. Ce meurtre a déclenché une réaction en chaîne de contestations populaires à travers le pays, exprimant un profond sentiment d’injustice. Cependant, une chose frappe l’attention : le silence assourdissant des médias internationaux, tels que RFI, France 24 et TV5Monde, qui semblent curieusement réticents à aborder ces événements, contrairement à leur propension à dénoncer les violations des droits de l’Homme en Afrique.

La colère face à l’injustice

La mort de Nahel, un jeune homme de 17 ans, a provoqué une réaction de colère généralisée. Les manifestants dans les rues de toute la France dénoncent la violence policière et réclament justice. Ils rappellent que la mission de la police est de protéger les citoyens, non pas de leur ôter la vie. Cette indignation populaire met en lumière une crise de confiance entre la population et les forces de l’ordre.

Répression brutale

Face aux manifestations, la police a réagi de manière encore plus violente. Des vidéos largement partagées sur les réseaux sociaux montrent des agents des forces de l’ordre poussant des manifestants dans le dos ou maltraitant des personnes déjà à terre. Ces images choquantes témoignent d’une escalade de la violence de la part des autorités chargées de maintenir l’ordre.

Le silence médiatique troublant

Ce qui est encore plus troublant, c’est le silence des médias français et internationaux sur ces graves violations des droits de l’homme en France. Alors que ces médias sont habituellement prompts à couvrir les mouvements de contestation et les violations en Afrique, ils semblent étrangement réticents à aborder les problèmes similaires dans leur propre pays. Cette omission soulève des questions sur l’influence politique et l’instrumentalisation des médias.

Extrait vidéo dans laquelle, on peut clairement s’apercevoir des violences dont sont victimes les manifestants en France.

La partialité des médias financés par le contribuable

Les médias français en question, tels que France 24, RFI et TV5Monde, sont financés par le contribuable français, y compris ceux qui manifestent actuellement contre les brutalités policières. Le fait que ces médias évitent de rapporter ces événements, même s’ils auraient attiré l’attention s’ils se déroulaient dans un pays africain, soulève des inquiétudes quant à leur indépendance éditoriale et à leur loyauté envers les intérêts politiques.

L’instrumentalisation des populations

Cette situation souligne l’instrumentalisation potentielle des populations par les médias. Les Africains, en particulier, sont invités à tirer les leçons de cette situation et à remettre en question la crédibilité des médias internationaux lorsqu’ils traitent des événements en Afrique. Le silence face aux problèmes domestiques met en évidence un double standard troublant dans la couverture médiatique.

La répression violente des mouvements de contestation en France et le silence des médias internationaux tels que RFI, France 24 et TV5Monde suscitent de vives interrogations. Alors que les médias ont un rôle essentiel à jouer dans la diffusion de l’information et la dénonciation des violations des droits de l’homme, leur silence dans ce cas précis remet en question leur intégrité et leur impartialité. Il est important de souligner l’instrumentalisation potentielle des médias et d’encourager un examen critique de la façon dont l’information est présentée et sélectionnée dans notre société actuelle.

Derniers articles
Articles similaires

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici