Le message est clair, le ton posé mais déterminé. Par une prise de parole diffusée via la page Facebook de l’Association Colibri, Victorine Tchicot, présidente d’honneur de la structure, s’adresse directement aux jeunes Gabonais. Une invitation à prendre part, sans détour, à la construction d’un avenir meilleur. « Vous êtes l’espoir de notre pays », lance-t-elle, soulignant l’urgence d’un engagement actif et durable de cette génération.
Depuis plusieurs années, l’Association Colibri se positionne comme un levier d’accompagnement pour les jeunes. Formations, appui aux projets entrepreneuriaux, valorisation des petits métiers : les actions menées visent un objectif précis — outiller la jeunesse pour lui permettre de se construire des perspectives solides, concrètes, à la hauteur de ses ambitions.
Au cœur de cette démarche, une philosophie : croire en la seconde chance. « Donner une seconde chance, c’est croire en l’avenir », répète Mme Tchicot, fidèle à l’ADN de Colibri, fondé sur l’inclusion et l’accès équitable aux opportunités. Un engagement de terrain, pensé pour répondre aux réalités d’une jeunesse en quête de repères et d’autonomie.
Mais ce combat ne peut se mener seul. À travers son appel, Victorine Tchicot tend également la main aux institutions publiques, aux entreprises et à la société civile. Elle les invite à jouer leur rôle, à unir leurs forces pour bâtir un environnement où chacun peut trouver sa place et avancer.
Loin des discours convenus, ce message vient rappeler que le développement d’un pays repose d’abord sur ceux qui le feront demain. L’Association Colibri, par son action continue, entend rester un acteur de cette dynamique collective. La jeunesse, elle, n’a plus qu’à saisir l’élan.
