Du 20 au 22 janvier 2025, Libreville devient le centre névralgique de la lutte contre les produits cosmétiques éclaircissants dangereux. Le Radisson Blu accueille le tout premier Atelier Régional consacré à l’élimination des produits contenant du mercure et d’autres substances toxiques. Cet événement, d’une importance capitale pour la santé publique en Afrique, sera marqué par la participation active de Zita Oligui Nguema, Première Dame du Gabon, qui présidera le segment de haut niveau sous forme de table ronde.
Reconnue pour son engagement constant en faveur des causes sociales, Zita Oligui Nguema ne cesse de démontrer sa volonté de lutter contre les fléaux qui affectent la santé et la dignité des populations. Son intervention attendue ce mercredi incarne un plaidoyer fort contre l’usage de produits éclaircissants nocifs. Ces substances, souvent perçues comme inoffensives par une partie de la population, provoquent des conséquences graves sur la santé, telles que des atteintes dermatologiques, des troubles hormonaux et même des maladies chroniques.
Le phénomène des produits éclaircissants, largement encouragé par des standards de beauté imposés, est un véritable enjeu de santé publique et de justice sociale. En mettant ce problème sous le feu des projecteurs, la Première Dame invite les acteurs publics et privés à s’unir pour développer des régulations strictes. Elle insiste également sur l’éducation des populations afin de lutter contre les normes culturelles qui encouragent l’utilisation de ces produits.
L’atelier de Libreville devrait aboutir à l’adoption d’une « Déclaration de Libreville ». Ce texte symbolique visera à ancrer un engagement collectif pour l’interdiction des produits cosmiques toxiques dans la région. Le leadership de Zita Oligui Nguema, à travers cette initiative, consolide la position du Gabon en tant que modèle pour le reste de l’Afrique, tout en montrant la voie vers des solutions concrètes et durables.
Les enjeux vont bien au-delà des frontières gabonaises. Cette initiative régionale reflète une prise de conscience croissante à l’échelle internationale. En alignant son discours avec les normes sanitaires internationales et les recommandations des experts, Zita Oligui Nguema espère inspirer d’autres pays africains à adopter des mesures similaires. Cette dynamique pourrait transformer la manière dont les produits à base de substances toxiques sont réglementés sur le continent.
Alors que l’événement se poursuit, les attentes sont grandes quant aux engagements qui seront pris. Avec Zita Oligui Nguema en première ligne, cet atelier pourrait bien marquer le début d’un changement profond dans la lutte pour la santé et la dignité des populations africaines, tout en établissant Libreville comme un modèle de mobilisation régionale.
