Ce jeudi 22 juin 2023, le Sommet pour un nouveau pacte financier mondial s’ouvre dans la capitale française. Le président de la République gabonaise y participe aux côtés de ses homologues et de nombreux leaders mondiaux engagés dans la protection de l’environnement.
Le chef de l’État gabonais est considéré comme l’un des invités de choix, et pour de bonnes raisons. Il a été Président du groupe africain des négociateurs sur le climat. A ce titre, il portait la voix du continent sur le sujet. Son pays est d’ailleurs reconnu comme un refuge pour des espèces en voie de disparition à travers la planète.
Avec 80 % de son territoire couvert de forêts, le Gabon fait partie du bassin du Congo-Ogooué, le deuxième poumon vert du monde. Dans le but de protéger cette couverture forestière tout en créant des emplois, les autorités gabonaises ont décidé de cesser les exportations de grumes et de promouvoir leur transformation locale. Les entreprises forestières sont tenues de cesser l’exploitation sauvage et de procéder chaque année à un reboisement dans les zones de coupe afin de garantir le renouvellement de la forêt.
Lors de nombreux sommets, Ali Bongo Ondimba n’a pas manqué de prendre des engagements exemplaires en faveur de la protection de la planète. Malheureusement, malgré leurs promesses, les pays développés, qui sont les plus grands pollueurs, tardent à respecter leurs engagements financiers.
Il y a quelque temps, le Gabon et la France ont coorganisé le Sommet One Forest à Libreville. L’objectif de ce forum était de sensibiliser les pays pollueurs à la nécessité de rétribuer ceux qui préservent l’environnement et d’encourager leurs efforts.
Le Gabon s’est engagé à devenir carbone neutre d’ici 2050. Le pays compte également 13 parcs nationaux et 20 aires marines protégées pour sauvegarder la riche biodiversité qu’il abrite.
Il est donc clair que le Gabon d’Ali Bongo Ondimba se positionne comme une référence en matière de protection de l’environnement et de préservation de la biodiversité.