Chaque jour qui passe les acteurs politiques de l’opposition dans notre pays démontrent qu’ils sont bien loin d’incarner une alternative crédible. Ils usent des subterfuges les plus ignobles au nom de ce qu’ils qualifient de « combat ».
Hier, le président de la République s’est rendu dans la Ngounié. A sa descente de passerelle, tout le monde a pu constater qu’il pleuvait des cordes. Mais ces caprices de la nature, le chef de l’Etat s’est dirigé vers les populations qui ont bravé les éléments pour lui souhaiter la bienvenue.
Non content que lors de chaque déplacement d’Ali Bongo Ondimba vers l’intérieur du pays, comme un signe ciel, la pluie le précède comme pour nettoyer la localité et lui souhaiter la bienvenue comme nous enseigne nos traditions Bantu, des individus sans scrupules comme Bruno Ben Moubamba, Stephane Zeng et Serge Christian Nguema ont eu recours à un photo montage afin de discréditer un déplacement qui se déroule sous de très bons offices.
Cette stratégie aussi pitoyable que vaine est l’illustration, encore une fois, de ce que l’opposition n’a pas de projet de société. Elle ne peut, ni ne saurait, représenter une réelle alternative en ayant recours à des moyens aussi puérils. D’ailleurs, les internautes ont été nombreux à y voir le coup tordu.
La ferveur avec le président Ali Bongo Ondimba a été accueilli partout où il est passé est un signal qui inquiètent ses opposant avant la présidentielle de 2023. Il leur faut donc le discréditer pour essayer d’exister. Mais c’est peine perdu, et plus personne ne se laisse encore duper.
Malheureusement pour les acteurs politiques de cette opposition, lorsqu’ils finissent pas trouvé un compromis et regagnent la majorité, les monstres qu’ils ont créé ne se montrent guère tendres envers. Ils bien plus critiques envers leurs anciens champions que ceux de la majorité. Une façon de leur rappeler le Karma.
Le sens des responsabilités et la décence auraient commandé que ces acteurs politiques de l’opposition dénoncent cet état de fait, mais ces derniers ont choisi de se murer dans un silence coupable. Cautionnant par la même occasion les dérives de leurs sbires qui inondent la toile de fausses informations à longueur de journée.