C’est à travers ses réseaux sociaux que le numéro un gabonais a réagi en apprenant à quel point, en 2022, les énergies fossiles ont déversé du carbone dans la couche d’ozone. Un message posté à la fois en français et en anglais.
« Jamais autant qu’en 2022 les émissions de CO2 émanant d’énergies fossiles n’ont été aussi élevées, selon le Global Carbon Project. » fait observer le numéro un gabonais.
Avant de rappeler, et c’est très important de le souligner, que : « Le Gabon, pays le plus « carbone positif » au monde, entend redoubler d’efforts. »
« Mais plus de solidarité entre les pays est indispensable. », pour rappeler à l’occasion de la COP 27, la toute première organisée sur le continent, à tous les pays pollueurs que ceux qui préservent la planète des effets néfastes du recours à des énergies fossiles doivent être rétribués en contrepartie.
Le Gabon est recouvert à 88% par la forêt du bassin du Congo, le deuxième poumon vert de la planète après l’Amazonie. Il est donc urgent que nos efforts de préservation soient récompensés à leurs justes valeurs. Récemment, un reportage de France 2 rappelait que le Gabon « était vraiment le dernier paradis » mais aussi « un refuge pour plus d’une dizaine d’espèces menacées d’extinction. »