Décidément, les petites manigances et autres bouderies de l`Union Nationale, de REAGIR, du PSD et de Gerard Ella Nguema ainsi que son parti fantoche n’auront pas duré bien longtemps. Autrement dit, il est bien loin le temps où des acteurs politiques pouvaient instrumentaliser les populations. Cette fois, ils n’y seront pas parvenus et se sentant lâchés, ils repartent sur la pointe des pieds rencontrer le premier Bilie-By-Nze en vue d’étudier un éventuel retour aux travaux de la concertation politique ouverte par le président de la République le !# février dernier.
Si d`aucuns avaient cru encore une fois de partage de postes, de modifications constitutionnelles ou du Code électorale, ils ont très vite déjanté. Dans la foulée, certains responsables politiques ont convoqué des conférences de presse et Live Facebook.
Mais le gouvernement, la majorité et les opposants responsables dont restés focus sur l’objectif même de ces assises, organiser des élections aux lendemains apaisés dans notre pays. Constatant que leur mouvement n’avait pas été suivi par leurs autres collègues de l’opposition, l’un d’entre écrira sur Facebook qu`« Au Gabon, on a l’opposition la plus bête du monde. »
Réalisant que la supercherie n’a pas pris, c’est la « queue entre les jambes » qu’ils veulent retrouver une place à la table. Mais pour certains, ce volteface serait plus motivé par la manne doit être remise aux partis ayant participé de manière effective aux travaux.
Ce qui fait dire à un autre opposant prenant part aux travaux que : « Ces anciens PDGistes de l’opposition doivent comprendre qu’un Etat ne se gère pas sur les réseaux sociaux. Nous retenons juste qu’ils sont prêts à tout, même pour chewing-gum. En tout cas, la concertation reste ouverte à tous. Mais nous avons appris à seprarer le bon grain de l’ivraie. »
