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lundi, août 25, 2025

Démonstration de force du Secrétaire Général de l’UDB à Ndende pour laquelle il nourrit de grandes ambitions

Mercredi 20 août 2025, Mays Mouissi, secrétaire général de l’Union pour la Démocratiquee des Bâtisseurs (UDB) et fils de la Dola, a été reçu à Ndendé par ses partisans. L’événement, marqué par une forte mobilisation locale, a été présenté par le parti comme un signe de soutien populaire à sa candidature pour les prochaines élections législatives.

Cet accueil intervient alors que Mays Mouissi, reconnu pour son parcours technocratique, reste relativement nouveau sur la scène politique active. Sa démarche est perçue comme une étape importante pour consolider sa présence dans la circonscription, notamment face à des figures établies comme Yves Fernand Manfoumbi, élu connu et surnommé « Manf10 ».

La dynamique électorale dans la région est également influencée par la jeune Elza Ritchuelle Bounkandou, considérée comme proche de Mays Mouissi et héritière politique de Pierre Mamboundou. Il ne faut pas oublié que la jeune Elza Ritchuelle Bounkandou, que l’on présente comme l’héritière spirituelle de Pierre Mamboundou Mamboundou et très proche de Mays Mouissi, avait fait vasciller « Manf10 »  durant le scrutin d’août 2023. Malheureusement, le « Coup de la Libération’ ne nous aura permis de savoir qui des 2  l’avait finalement emporté.

Des partisans de Mays Mouissi ont comparé sa campagne à un combat symbolique contre un adversaire reconnu, illustrant la manière dont la mobilisation locale peut influencer les perceptions électorales. C’est donc dire que le combat n’est pas couru d’avance. Selon les supporters de l’actuel ministre de l’Environnement, tel le jeune « David », il pourrait bien venir à bout du « Goliath », Yves Fernand Manfoumbi.Les chants et slogans entendus lors de sa réception ont été interprétés comme un soutien visible à l’UDB et à ses ambitions législatives.

Si les intentions de vote et la mobilisation observée à Ndendé peuvent signaler une consolidation du soutien pour Mays Mouissi, les analystes politiques rappellent que la situation reste compétitive. La présence de candidats expérimentés et l’histoire récente du scrutin montrent que l’issue électorale ne peut être présumée à ce stade.

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